Si la connaissance ne sert pas la bonté, c'est un piège pour le monde

Si la connaissance ne sert pas la bonté, c'est un piège pour le monde / La culture

Nous connaissons tous des personnes brillantes sur le plan académique qui laissent beaucoup de choses dans l’aspect humain. Le piège est que beaucoup de ces personnes, généralement avec peu ou pas d'empathie pour la réalité des autres, laissent leurs idées se noyer dans la société sous le label "experts"..

Mais la connaissance et l'excellence sont inutiles si elles ne conduisent pas réellement à des changements et à des améliorations de la qualité de la vie des gens, puisque la recherche du progrès et l'amélioration de l'humanité étaient les idées qui ont motivé tout domaine scientifique et spirituel..

En période de changement continu et de confusion, les professionnels de tous les domaines ne doivent pas oublier que la bonté est la maxime de toute société progressiste et humaine. Si cela disparaît des "hauts lieux" intellectuels, l'exemple et le stimulus d'amélioration qui seront donnés au reste de la société seront vides et dangereux..

Toute excellence professionnelle ne peut viser la réussite individuelle, car le monde est dépourvu de bonnes valeurs. C'est pourquoi si la connaissance ne sert pas la bonté, c'est un piège pour le monde.

Définir la gentillesse

Mais comment définir la gentillesse?,Existe-t-il une définition universelle valable qui serve tout le monde à tout moment? La bonté doit cesser de se soumettre aux dogmes pour devenir une attitude adéquate et flexible selon les situations?.

"Bienveillance ne veut pas dire tolérance du moyen, ni conformité à l'inepte, mais volonté du bien"

-Antonio Machado-

Si nous comprenons la bonté comme une vertu humaine, c’est parce qu’elle aide notre vie à être meilleure. Pour approfondir ce fait, examinons quelques maximes qui devraient régir un bon comportement:

  • La maxime de l'empathie: si une attitude ou une idée est heureuse mais détruit la vie des autres, ce sera une erreur. La phrase de "Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'ils te fassent" c'est la phrase qui décrit ce point extraordinairement bien. Nous ne pouvons pas fonder la société sur des valeurs qui profitent grandement aux uns et nuisent aux autres de manière flagrante.
  • La maxime de la spécificité: savoir adapter un jugement éthique à chaque situation, c'est ne pas tomber dans un "relativisme moral", c'est au contraire empêcher qu'une règle morale qui "a priori" semble innocente est impitoyable dans certaines situations et certains contextes. Savoir juger chaque situation avec rigueur et proportionnalité n’appauvrit pas les valeurs, bien au contraire.
  • La maxime de la liberté: "Fais ce que tu veux dans cette vie en causant le moins de mal possible aux autres" c'est la définition la plus précise de la liberté, de la moralité et de la gentillesse que vous trouverez jamais. Notre liberté se termine là où commence celle des autres, mais les autres doivent éviter de s'immiscer dans les questions intimes et personnelles de notre vie si elles ne sont pas du tout affectées..

Cette maxime est non seulement adaptée à l'être humain, mais également au reste des espèces et des écosystèmes qui vivent avec nous. Adopter une attitude cruelle, despotique et préméditée envers ce qui nous entoure appauvrit notre véritable essence, qui doit être vertueux dans ce monde.

Le seul signe de supériorité que je connaisse est la gentillesse. La bonté se voit dans des regards propres, des actes sincères et dans toute la sagesse qui découle de la proximité et de l'illusion de changer le monde ... Lire la suite "

Utilisez vos connaissances pour promouvoir la gentillesse, le monde vous en remerciera

Après avoir défini le bien en fonction des paramètres ci-dessus, vous avez une responsabilité incontournable en ce qui concerne l'amélioration de vous-même et donc du monde..

"En faisant le bien, nous nourrissons la plante divine de l'humanité; formant beauté, nous répandons les graines du divin "

-Friedich Schiller-

Bien que nous coexistions avec des milliers de messages et d’actes mesquins, nous ne pouvons pas plier notre esprit et notre volonté par crainte d’échec, de ridicule, de stigmatisation ou de poursuites sociales..

Dans un monde extrêmement complexe, la seule façon de résoudre le problème est que chacun de nous agisse avec des principes, Bien que ceux-ci ne soient pas reconnus ou le contexte dans lequel vous développez les attaques.

Nous devons sortir de l'ignorance, cultiver la connaissance mais sans négliger l'humilité, poursuivre brillamment dans notre travail pas pour la reconnaissance publique mais pour la satisfaction que le fait lui-même produit. Essayez de répandre les injustices pour que le monde les affronte, et ne tenez jamais pour acquis ce que certaines personnes disent uniquement parce qu'elles estiment être à une "échelle supérieure à la nôtre".

Être une minorité dans une société donnée constitue parfois un véritable privilège: lorsque la médiocrité et l'hypocrisie s'enfoncent profondément dans la majorité, ce sont les minorités qui sont responsables de la réalisation des bonnes valeurs que la plupart ont oubliées, par peur, avidité ou indifférence..

Les petits gestes de bonté qui nous ramènent à la vraie connaissance

Pour finir de définir ce que supposent les actes de bonté dans un monde malade du mal, je propose de visualiser cette vidéo absolument brillante et déchirante. Une vieille femme nous raconte une histoire qui fait partie de sa vie et dans laquelle elle a joué un rôle principal simplement par un petit acte de générosité avec des conséquences inattendues et merveilleuses à moyen et à long terme..

Cette vidéo montre également à quel point il est dangereux pour certaines personnes d’assumer le contrôle d’une société., proposer des idées qui, pour beaucoup, sont brillantes mais qui manquent non seulement de bonté, mais qui hébergent le plus grand cynisme, manipulation et cruauté de notre histoire récente.

Nous ne devons pas oublier, encore une fois, que une personne cultivée mais dépourvue du moindre sens de la critique et d'un esprit bon peut mener au désastre. Il faut rester vigilant, se méfier des "grands experts" qui proposent des idées qui encouragent la discrimination, la haine et le manque d'empathie, car ils ne sont intéressés que par la démonstration de leur supériorité supposée sur les autres..

Ce n’est pas seulement une option que d’adopter cette attitude critique, c’est presque un devoir pour tous. des histoires comme celles de Francine ne se répètent plus jamais.

Qu'est-ce que les plus grands dictateurs de l'histoire ont en commun? "pour que le mal réussisse, il suffit que les braves gens ne fassent rien". Tout au long de l'histoire, des dictateurs sont apparus et ils avaient tous des caractéristiques communes. Lire plus "